Pour le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, "il s’agit d’une réunion vérité, une réunion de transparence, afin que l’opinion et les consommateurs soient pleinement et dûment informés. Tous sera dit là, sans tabou".
Dénonçant une machination, les responsables de la société importatrice ont présenté au public, les documents attestant de la confirmé des deux marques de riz soupçonnés être en plastique.
Dans son mot de fin, Mbarga Atangana a déclaré le riz incriminé propre à la consommation : "En l’état, il n y’a aucun élément objectif qui puisse nous emmener à penser que le riz incriminé est un faux riz. Rien d’anormal n’a été relevé. Nous voulons dire que le riz incriminé nous apparait propre à la consommation humaine"